Le synchronisme induit la résistance

[M'enfin]

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Avec la Reptation, la résistance à l’accélération d’une source de lumière, sa masse, provient principalement de la reptation entre ses propres composants puisqu’ils accélèrent plus souvent et que leur lumière est plus intense mais aussi, et dans une mesure non négligeable, de sa reptation avec ses semblables, d’où leur moindre résistance à l’accélération commune quand deux sources forment une liaison, leur moindre masse, car c’est la lumière échappée de la reptation entre les composants qui provoque plus loin celle entre les sources, que cette lumière ne sert plus à la liaison entre les composants, et qu’elle perd beaucoup d’intensité en traversant d’une source à l’autre. Quand j’accélère une source vers une autre, l’effet Doppler qu’elle provoque sur la lumière de l’autre l’empêche d’avancer, je dois donc la forcer à avancer et elle résiste, d’où sa masse, mais elle doit ensuite ralentir quand je cesse de la forcer, d’où la reptation ultérieure entre les deux sources. En voulant combler, par leurs accélérations, un décalage lumineux issu de ces mêmes accélérations, deux atomes ainsi que tous leurs composants entretiendraient inévitablement ce décalage entre eux au lieu de le combler, ils avanceraient l’un à la suite de l’autre comme l’avant et l’arrière d’une chenille, d’où le rapprochement entre la reptation qui permet à cet animal d’avancer à vitesse constante, et l’accélération répétée entre ses atomes dont dépend le mouvement constant d’une molécule.